
Protection contre la fraude de domaine DMARC : pas sexy, mais essentielle
Faisons à un vote à main levée : qui se réjouit à l’idée de vérifier que les protocoles d’authentification DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting & Conformance) sont correctement configurés ? Personne ? Vraiment ? Non ?
Formulons les choses autrement : levez la main si vous pensez qu’il est essentiel que les e-mails sortants de votre entreprise soient distribués aux destinataires prévus et que votre domaine de messagerie ne soit pas étiqueté comme une source de spam ou de cyberattaques ?
Oui, DMARC et ses cousins de protection contre la fraude de domaine SPF (Sender Policy Framework) et DKIM (DomainKeys Identified Email) ne sont pas les sujets préférés des administrateurs informatiques. En fait, la plupart des informaticiens ressentent probablement une poussée d’anxiété chaque fois qu’ils sont mentionnés. Mais ils sont d’une importance capitale pour toute entreprise dont les activités dépendent de la réussite de l’envoi d’e-mails sortants. Autrement dit tout le monde, n’est-ce pas ?
C’est pourquoi vous devriez réserver votre place pour un prochain webinaire où vous apprendrez tout sur le protocole DMARC et les avantages de l’appliquer correctement, ainsi que sur les nouveaux outils automatisés comme Barracuda Domain Fraud Protection, qui facilite vraiment les choses.
Les exigences sont devenues réelles
Pendant longtemps, la configuration DMARC a été une tâche complexe, chronophage et source d’erreurs, négligée par de nombreuses organisations (80 %, selon ce rapport de 2019).
Cela ne posait pas de problème à l’époque. Bien sûr, cela signifiait que votre domaine pouvait facilement être usurpé par des cybercriminels, mais tant qu’il n’était pas ajouté aux listes noires de nombreuses entreprises individuelles, vos e-mails légitimes étaient généralement distribués comme prévu.
Mais il y a un peu plus d’un an, les principaux fournisseurs de messagerie tels que Google, Yahoo et AOL ont commencé à appliquer strictement les exigences relatives à la mise en œuvre et à la configuration complètes de DMARC pour les expéditeurs, sous peine de rebonds (ou de redirection dans le dossier des spams).
Évitez le S de la honte !
Si le S sur la poitrine de Superman signifie Super (fans de DC, ne m’en voulez pas, je sais que ce n’est pas vraiment ça), un S sur votre nom de domaine signifie plutôt Spammeur.
Heureusement, il est aujourd’hui assez facile de mettre en œuvre DMARC, même avec des ressources informatiques et un personnel très limités. Des outils et des fonctionnalités qui automatisent le processus de configuration correcte de vos protocoles de protection contre la fraude de domaine sont disponibles.
Par exemple, Barracuda Email Protection, notre plateforme complète et polyvalente de sécurité des e-mails et de protection des données, inclut Barracuda Domain Fraud Protection.
Heureusement, il va prochainement y avoir un webinaire où vous pourrez voir la solution en action, dans le cadre d’une démo en direct. De plus, vous obtiendrez les dernières informations et perspectives concernant l’augmentation rapide des attaques de spoofing et d’usurpation d’identité, la manière dont les criminels exploitent les vulnérabilités de SPF et DKIM, et bien plus encore.
De plus, si nos architectes de solutions Thorsten Stoeterau et Michael Townsend font bien leur travail (ce qui est toujours le cas), ce webinaire vous aidera à vous libérer de tout sentiment d’anxiété ou de stress lié à la configuration DMARC. Il ne s’agira alors plus que d’une autre tâche facile à effectuer dans votre liste.

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